LA FABRIQUE, des ateliers partagés

Bois, métal, couture, cordonnerie, électronique, informatique et d’autres à venir – dans l’ancienne Brasserie Gruber, à Strasbourg-Koenigshoffen.

Elle s’adresse aux particuliers, du débutant au professionnel, ainsi qu’aux structures associatives.

Une fois membre, vous pouvez accéder aux ateliers en autonomie avec :

  • des tickets de sessions de 3h
  • des abonnements à l’année ou au mois
  • des résidences donnant un accès plus large

Vous pouvez également :

  • vous initier à des machines ou techniques particulières
  • profiter de sessions en accompagnement

Le concept vous plaît ? Rejoignez-nous pour faire vivre l’association !

BONNE ANNÉE !

La Fabrique rouvre ses portes après les congés le jeudi 4 janvier à 10h.

Attention, le 1er Répar’action de l’année est reporté au jeudi 11 janvier.

ATTENTION ENCORE : le 1er Club Boro de l’année, prévu le 11 janvier, est annulé pour cause de grippe 🙁 Prochaine date le jeudi 1er février de 14h à 17h à la Maison des Projets.

VENEZ VISITER ET DÉCOUVRIR LES JEUDIS SOIR

En avant première de votre venue, une présentation vidéo ici !

Pour tout renseignement, découvrir l’atelier, les équipements, rencontrer des bénévoles et discuter projets autour d’un verre, La Fabrique vous fait visiter tous les jeudis à partir de 18h30.


Souscrivez à notre Infolettre

Auto-réparation en cordonnerie

Venez apprendre à réparer vos chaussures et accessoires en cuir avec l’aide d’une professionnelle.

N’hésitez pas à venir la première fois avec plusieurs objets si vous ne savez pas trop ce qui est faisable.

Le STICK, auto-réparation de vélos

Venez réparer ou apprendre à réparer et entretenir votre vélo !

L’atelier est ouvert les jeudis de 18h à 20h et les dimanches de 13h à 15h !

Club retouches

Faites vous aider à réaliser les retouches de vos vêtements.

Répar’action

RÉPARER C’EST COMPRENDRE !

Les premiers jeudis du mois de 19 h à 21 h, c’est l’occasion d’apporter ses objets cassés à la Fabrique ! Électronique, petit électroménager et autres bricoles qui ne fonctionnent plus – on observe, on bidouille, on trouve le problème et on voit si on peut le réparer avec les outils de notre atelier !

GRATUIT, OUVERT À TOUS

ACTUALITÉS

  • DNA – Ici on agit – Dans les ateliers de La Fabrique, réparer pour moins consommer

    Les portes des ateliers partagés sont ouvertes à celles et ceux qui désirent moins consommer ou travailler de leurs mains. La Fabrique à Strasbourg propose de réparer plutôt que de jeter, et donner plus de valeur aux objets pour réduire notre impact sur l’environnement.

    https://www.dna.fr/environnement/2023/10/18/la-fabrique-reparer-pour-moins-consommer
  • Aménager son van de A à Z

    Aménager son van de A à Z

    Aménagez votre van en évitant les erreurs grâce aux conseils des @three_vanlifers.


    Vous souhaitez aménager un van ou un fourgon ? En solo ou avec un artisan ? Ou même apporter des modifications à votre camping-car ou véhicule déjà aménagé ?

    Ce livre répondra à toutes vos interrogations pour que vous puissiez mener votre projet en toute sérénité. Il est le résultat de l’expertise des @three_vanlifers acquise au fil des années : quatre véhicules aménagés, de nombreux accompagnements réalisés, ainsi que l’aménagement complet d’un van qui sert de modèle dans cet ouvrage. Choix du véhicule, isolation, installation électrique, circuits d’eau et de gaz, choix des équipements, ameublement, homologation… sont passés au crible afin de vous donner un maximum d’outils et vous aider à faire les bons choix.

    Agrémenté d’apports théoriques, de schémas, de fiches pratiques, de tutoriels illustrés et de photos d’aménagements réalisées par des voyageurs aux profils variés pour faire le plein d’inspiration, ce livre sera un véritable allié dans la planification de votre aménagement.

    Suivez les conseils et astuces de Tifenn et Kevin, évitez les erreurs et concevez le véhicule parfaitement adapté à vos besoins !

    Auteurs:Tifenn Butel & Kévin Laurent
    Ids:9782889700806, Google
    Étiquettes:General, Travel
    Formats:EPUB
    Télécharger1fichier.com/?d412g2g9yxjfytq15pa7

  • Makers: enquête sur les laboratoires du changement social – Isabelle Berrebi-Hoffmann & Marie-Christine Bureau & Michel Lallement

    Le phénomène des makers recouvre des réalités très différentes : en France, selon la terminologie retenue par les auteurs, principalement celle des hackerspaces et celle des fablabs. La différence ne tient pas seulement à une orientation qui privilégierait une intervention via et sur le logiciel libre pour les premiers, et une volonté de réalisation plus concrète pour les seconds (à travers la création d’objets nouveaux ou personnalisés, en mettant en œuvre des techniques variées au-delà de l’informatique et des imprimantes 3D, telles que différents types d’usinage ou l’assemblage de matériaux). Au-delà des projets spécifiques des différents groupes, il s’agit aussi d’un positionnement quelque peu différent vis-à-vis de leur environnement.

    De façon simplifiée, selon les auteurs du livre :

    — Les hackerspaces rassemblent plutôt des acteurs qui s’inscrivent dans un modèle alternatif, bien symbolisé par l’importance donnée au logiciel libre. Tout en accordant une très grande importance à leur indépendance, les membres appartiennent à une communauté solide qui se construit clairement en opposition aux entreprises qui véhiculent des valeurs qui ne sont pas les leurs.

    — Les fablabs, en particulier parce qu’ils associent a priori une plus grande diversité de profils (informaticiens, électroniciens, « bricoleurs », artistes, etc.), sont dans l’ensemble plus ouverts sur le monde extérieur et privilégient des modèles de fonctionnement plus coopératifs et plus engagés dans des collaborations avec des partenaires externes.

    Il convient également de signaler une spécificité française : les financements d’origine publique (en particulier émanant des collectivités locales et des institutions d’enseignement) atteignent des niveaux qui ne se rencontrent dans aucun autre pays.

    Pour autant, les débats qui traversent la communauté (ou plus exactement les communautés tant les points de vue peuvent diverger) portent comme ailleurs sur le degré d’autonomie à préserver, sur l’interaction avec les secteurs marchands, sur le degré d’intégration dans l’éducation populaire, sur la participation à la vie de la cité, etc., auxquels font écho les multiples débats sémantiques sur la désignation des structures et des espaces : hackerspaces et fablabs, mais aussi usinettes, medialabs, recycling labs, brico labs et autres.

    À cette diversité des pratiques, correspond évidemment une diversité aussi grande des acteurs et de leurs trajectoires : ils ont cependant en commun le fait d’être généralement très diplômés (qualitativement et quantitativement) et d’avoir dans leurs différents métiers préféré les chemins de traverse aux autoroutes. C’est donc surtout la culture du faire (autrement) qui les rassemble et les fédère. S’il est facile de faire remonter cette culture assez loin dans l’Histoire (« le bel ouvrage comme contrepoint aux désastres de la société industrielle » comme le désignent les auteurs en la faisant remonter à la seconde moitié du XVIIIe siècle), il est plus difficile d’en identifier les idées-forces et les supports sur lesquels elle est aujourd’hui bâtie.

    Les auteurs en distinguent deux principales :

    — un ensemble organisé auprès des notions d’accomplissement personnel et de partage, illustré par des verbes comme partager, donner, apprendre, s’outiller, jouer, participer, aider, transformer ;

    — un deuxième, constitué dans une optique plus militante, qui instrumentalise (voire détourne) les techniques mainstream comme outils de résistance à des évolutions de la société jugées trop envahissantes, voire attentatoires à l’épanouissement de l’homme, et qui tente d’en renverser les conditions d’usage pour en faire des outils d’émancipation. Il ne faut pas pour autant ignorer un troisième aspect qui peut pour certains fort bien s’accommoder de la logique marchande (c’est en particulier le cas de certains fablabs), envisageant une production à plus grande échelle, même si elle n’a pas vocation au degré de standardisation de la production de masse. Cependant, la question de la liberté, qu’elle soit d’expression, politique ou commerciale, demeure un élément constituant important du sentiment d’appartenance à la communauté

    — une valeur qui est d’ailleurs aussi très présente chez de nombreux grands acteurs de la « nouvelle économie », sous la forme particulière du « libertarianisme ». Si les espaces créés par les makers ne fonctionnent jamais en vase clos, une grande diversité d’attitudes existe dans les approches adoptées par les différents groupes dans leur façon de régir leurs rapports avec le monde extérieur. Au sein de la communauté, des modes d’organisation solide et liquide coexistent, avec toute une palette de nuances. La nouvelle tendance dominante semble cependant à la création de lieux à vocation multiple, de plus grande taille, réunissant davantage de moyens techniques, fondés à partir de partenariats composites. Elle ne préjuge en rien des évolutions à court et moyen termes dans un monde qui se réinvente en permanence. Il est probable en particulier que la vogue croissante d’un coworking de plus en plus favorisé par les pouvoirs publics et les entreprises (et qui répond à une vraie demande sociale, même si elle ne touche pas tous les individus) aura des conséquences sur cette évolution, que certains choisissent de l’accompagner ou au contraire de s’en démarquer. La préservation d’une autonomie culturelle sera de toute façon un enjeu majeur pour le mouvement des makers dans les années à venir.

    Auteurs:Isabelle Berrebi-Hoffmann & Marie-Christine Bureau & Michel Lallement
    Ids:9782021389937, Amazon.com, Google
  • J’aurais pu devenir millionnaire, j’ai choisi d’être vagabond, Alexis JENNI

    J’aurais pu devenir millionnaire, j’ai choisi d’être vagabond, Alexis JENNI

    Une vie de John Muir. Inventeur génial dès son plus jeune âge, amoureux de la nature, grand marcheur, il sillonna le monde à pied et fut le premier à percevoir les dangers de l’exploitation de la nature. John Muir aurait pu être millionnaire, il a choisi d’être vagabond. Il a inspiré Alexis Jenni (prix Goncourt 2011).  » C’est l’homme le plus libre que j’ai jamais rencontré  » disait de lui Theodore Roosevelt. Né en Écosse, débarqué à 10 ans aux États-Unis avec son frère et son père, installé dans la région des grands lacs, il travaille sans cesse dans les champs et lève parfois la tête pour regarder la nature environnante qui l’émerveille. Le soir il invente des objets mécaniques qu’il présente ensuite en ville comme, par exemple, cet appareil qui le sort automatiquement du lit à l’heure du lever. Très vite John Muir s’interroge sur le sens de cette vie de forçat, alors qu’il pourrait vivre en autonomie dans la nature. Il quitte le Wisconsin et sillonne les États-Unis à pied jusqu’en Californie. Dès lors, il parcourra le monde. Figure mythique aux États-Unis, créateur des parcs nationaux, John Muir posa clairement la question du sens de la vie dans la nouvelle société industrielle et industrieuse et il y a répondu, par son mode de vie. Prix Goncourt 2011 pour L’Art français de la guerre (Gallimard). Ce livre a reçu le prix du Livre Lumexplore 2020

    Titre:J’aurais pu devenir millionnaire, j’ai choisi d’être vagabond
    Auteurs:Alexis JENNI
    Formats:EPUB
    Chemin:Cliquer pour ouvrir
    Éditeur:Guérin – Éditions Paulsen
    Clé de tri par auteur:JENNI, Alexis
    Tri par titre:J’aurais pu devenir millionnaire, j’ai choisi d’être vagabond
    Date:14 sept. 2023
    uuid:8ccb804d-ecf9-49f3-b773-a0547eb22c14
    id:46
    Publié:mars 2019
    Modifié:15 sept. 2023
    Taille:5.18 MB
    Langues:Français
    Lien de téléchargementhttps://1fichier.com/?hq1cny4j2bel1zbzqxh0&af=2609376
  • Incroyable mais frais, la rentrée de La Fabrique !

    Incroyable mais frais, La Fabrique r’ouvre et retrouve son fonctionnement habituel demain !

    Venez travailler sans transpirer.

    Venez vous soulager de la canicule.

    Le ménage est fait et les bières sont fraîches.

  • HORAIRES D’ÉTÉ 2023

    HORAIRES D’ÉTÉ 2023

    La Fabrique restera en partie ouverte cet été.

    Attention aux horaires spéciaux !

    Ouverture aux horaires habituels jusqu’au 16 juillet. (Attention le vendredi 14 est férié et réservé au chantier annuel de rangement / débarras)

    Ouverture partielle les semaines suivantes :

    • jeudi 20 juillet de 13h à 16h ; vendredi 21 de 13h à 19h
    • vendredi 28 juillet de 13h à 19h ; samedi 29 juillet de 13h à 16h
    • jeudi 3 août de 13h à 16h ; vendredi 4 de 16h à 19h.

    Fermeture du 10 au 20 août

    Réouverture aux horaires normaux le 24 août à 10h !

    Bel été !

  • VELORUTION 21 JUILLET PASSERELLE DES DEUX RÎVES À 17H30 ET OUVERTURE DU CYCLOCAMP

    VELORUTION 21 JUILLET PASSERELLE DES DEUX RÎVES À 17H30 ET OUVERTURE DU CYCLOCAMP

    Le Stick sera présent à cette vélorution qui ouvrira le festival du Cyclocamp. Le cyclocamp aura lieu du 21 au 30 juillet au pré Saint Gall à Strasbourg sur l autoréparation vélo, le DIY et le voyage à vélo ! Au programme : concerts, projections, débats, ateliers, vélos fous, fanzines,… Plus d’Info sur cyclocamp.org

  • ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2023

    ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2023

    L’assemblée Générale 2023 s’est tenue le samedi 29 avril dans les locaux de La Fabrique.

    Voici les membres du nouveau Conseil d’Administration :

    – Frédéric PERNET-MUGNIER

    – Mathias WEHRUNG

    – Mathieu JOINIE-MAURIN

    – Maud LUCAS

    – Nicolas FLORENTZ

  • DNA – Kambikes, des vélos cargos « made in Elsass »

    DNA – Kambikes, des vélos cargos « made in Elsass »

    La marque des deux ou trois roues conçus et fabriqués à Strasbourg lance cet automne trois modèles de vélos éthiques, innovants et modulables selon les besoins de ses utilisateurs.

    Aphrodite, Zeus ou encore Apollon… Pour ses nouvelles créations, Camille Mettemberg a tiré son inspiration de l’Olympe. Cet automne, sa marque de vélos cargos, Kambikes, passe à la vitesse supérieure avec le lanceme…

    https://www.dna.fr/environnement/2022/10/22/kambikes-des-velos-cargos-made-in-elsass

  • DNA – La Fabrique, un atelier aux portes grandes ouvertes samedi à Koenigshoffen

    DNA – La Fabrique, un atelier aux portes grandes ouvertes samedi à Koenigshoffen

    La Fabrique, située dans le parc Gruber, est un « centre de production partagé ». L’endroit parfait pour tout faire ou réparer. Parce qu’on n’a pas toujours la place pour bricoler. Parce que l’on en a assez, de ces objets toujours en panne. Samedi, c’est portes ouvertes. L’occasion d’aller y voir de plus près.

    Jean-Frédéric TUEFFERD – 19 oct. 2021 à 17:53 | mis à jour le 19 oct. 2021 à 19:40 – Temps de lecture : 2 min

    Source : https://www.dna.fr/environnement/2021/10/19/tout-faire-et-reparer-a-la-fabrique

    À la Fabrique, on peut réparer son vélo, mais aussi faire de la cordonnerie, de la couture, de la menuiserie… Pour savoir tout ce qu’on peut réaliser, le mieux est de se rendre aux portes ouvertes de l’association samedi. Photo DNA/Jean-Christophe DORN

    Quand on habite en ville, un des gros problèmes qui se pose est celui de la place. Pour peu que l’on ait pour passion le bricolage, cela confine au casse-tête. Face au dilemme de savoir si l’on privilégie son lit ou son établi, la Fabrique, située route des Romains à Koenigshoffen, est peut-être la réponse idéale.

    Un fablab orienté machines-outils et activités artisanales

    « Au début, raconte Maud Lucas, présidente de l’association, on avait choisi le nom de Centre de production partagé. » “La Fabrique” dit tout autant ce qu’est cet endroit situé en bas du parc Gruber. « C’est plus ou moins le principe d’un fablab, mais nous sommes plus orientés sur les machines-outils et les activités artisanales. »

    Le principe est simple. « Nous mettons à disposition des ateliers équipés pour remplacer les garages qu’on n’a souvent pas en ville. » Car le bricolage prend de la place, surtout quand on a décidé de réaliser un buffet comtois ou une armoire normande. « Mutualiser l’espace et les outils permet de mieux s’équiper. » Et aussi de bénéficier de formations pour savoir se servir aux mieux et sans risque des outils. « Le but, c’est de pouvoir se débrouiller de manière autonome. » Il existe plusieurs ateliers : menuiserie, métallerie, informatique et électronique, matériaux souples (couture et cordonnerie). À cela s’ajoutent une découpeuse laser et une imprimante 3D.

    Pour avoir accès à la scie sauteuse de ses rêves, il faut être adhérent, ce qui coûte 10 euros pour l’année. « Ensuite, les gens payent selon la formule qu’ils ont choisie » : soit un abonnement, soit un ticket qui correspond à trois heures d’atelier. À la Fabrique, le début de semaine est consacré à la formation, « le jeudi, on fait visiter » et les vendredis et samedis sont les jours d’ouverture (avec des possibilités pour d’autres créneaux, notamment le jeudi).

    « Une fois par an, nous organisons de vraies grosses portes ouvertes. C’est l’événement de rentrée », se réjouit Maud Lucas. Cette année, ce sera ce samedi, de midi à 22 h. « Il y aura des démonstrations dans les ateliers, de petites initiations et l’exposition de quelques pièces réalisées par les membres. » De quoi se donner envie de mettre la main à la pâte, pour faire une bourse par exemple, sans y laisser son portefeuille.

    Samedi 23 octobre, de midi à 22 h, portes ouvertes à la Fabrique, 91 route de Romains, parc Gruber, à Koenigshoffen. https://lafab.org

  • FRANCE INTER – Carnet de campagne

    FRANCE INTER – Carnet de campagne

    https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/carnets-de-campagne/bas-rhin-5-5-1007105

    Nous concluons cette semaine dans le Bas-Rhin avec deux nouveaux interlocuteurs : François Kormann et François Schreiber (oui nous avons pris la thématique François aujourd’hui).

    Le premier (j’évite de dire François 1er) est co-fondateur d’un des plus grands et des plus complets ateliers partagés visités par les carnets. Il se situe dans le quartier de Koenigshoffen à Strasbourg et offre ses machines sur 1500 m2 d’atelier sous le nom de La Fabrique. A découvrir et à lire en parallèle dans les pages numériques de La Vie.

    Le second François est un musicien-paysan- bistrotier-animateur. Clarinettiste, François Schreiber se présente au bac pro en agriculture, lance la première ruche qui dit oui en Alsace et planche ensuite sur un projet de bistrot-épicerie-ateliers-salon prolongé par un Biergarten dans le jardin. (Il n’y a qu’en Alsace que l’on a des Biergarten, des jardins à bière ou des terrasses à bière. Imaginez des terrasses à vin dans le Médoc. Ça paraît insensé). Quoiqu’il en soit le Bistrot de François, Made in Franz est ouvert depuis bientôt deux mois et nous nous y rendrons dans la seconde partie de ces carnets.

    Originellement dénommé « lieu citoyen », le projet de la Maison Citoyenne tire son nom de la maisonnette dans laquelle le projet se concrétise. La petite maison à colombages, désormais bien visible dans le quartier grâce à ses multiples couleurs, appartient à la SERS (Société d’aménagement et d’Équipement de la Région de Strasbourg), qui la met à disposition de l’association Éco-Quartier Strasbourg.

    Le Syndicat de la librairie française organise à La Rochelle les 25 et 26 juin 2017 les quatrièmes Rencontres nationales de la librairie.